CABARET PIN-UP

THÉÂTRE NOTRE DAME
13 à 17, rue du Collège d'Annecy
84000 Avignon
Tél. : 04 90 85 06 48

21h45  Salle Bleue
Relâche le 11

Cabaret Pin-Up ou La pin-up dans tous ses états

 

Voilà une belle rencontre avec le spectacle. Notamment avec une création purement avignonnaise.

La salle bleue du Théâtre Notre Dame propose sa centaine de places à un public heureux d’y découvrir de nombreuses petites perles, notamment, affranchi des codes habituels, le « Cabaret pin-up ».

Un spectacle feux d’artifice ! Imaginez plutôt ! 21 tableaux qui s’enchaînent, 84 costumes flamboyants, 4 artistes en scène sur un timing serré de 1h15 ! Pas le temps de souffler !

Évidemment, le thème ici, c’est la fête sur fond de musique des années 30/60.

Atmosphère légère et endiablée, coquine et sensuelle, un monde de paillettes et de plumes… un tout qui pétille d’humour ! Voilà une soirée à ne pas manquer au cours de cette cuvée 2015, au choix, après dîner, avant souper, avec pourquoi pas, une étincelle qui jaillit du fond de l’œil.

Un mot rapide sur les artistes :

– Isabelle, fondatrice de « Divine Compagnie », chorégraphe, danseuse et chanteuse obtient une solide formation au conservatoire de danse d’Avignon.
– Fabrice, formé à la Comédie Musicale, prend le costume de maître de cérémonie, il chante, joue, danse (hé oui !), le tout avec un bel enthousiasme et un réel talent.
– Olivia gagne ses galons de danseuse professionnelle avec, entre autres, la revue du Casino Ruhl à Monaco.
– Cyrille intègre des compagnies prestigieuses telles que le Ballet National de Marseille, le Ballet National de Nancy, le Ballet de l’Opéra de Nice. Il vient de terminer sa carrière de danseur classique au Ballet de l’Opéra Théâtre d’Avignon.

Voilà vous savez (presque) tout. Il ne vous reste plus qu’à réserver vos places !

PierPatrick

 

Cabaret Pin-Up ou La pin-up dans tous ses états

Par Divine Compagnie

Avec : Isabelle Adamo, Cyrille Jégou, Olivia Bisoli, Fabrice Bueno

Président de l'association : Frédéric Adamo

Régisseur son et lumières : Nathalie Bruno

 

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Mis en ligne le 6 juillet 2015

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